Richard Zrehen, est né en 1949, en Alger-la-blanche... Philosophe de formation, à l’école de Lacan, Lyotard et Deleuze, il est passé par l’enseignement (Paris I, Paris VIII, Valenciennes), la communication (Publicis, Havas, RSCG), le marketing (Sorgem, BBA), l’automobile (Citroën, Opel, Carex, Eldorauto) et la librairie. Il se consacre depuis 14 ans à l’édition : une collection aux Belles Lettres (Figures du savoir), depuis 4 ans, une collection chez Klincksieck (Continents philosophiques) et une collection orpheline depuis peu (L’Arbre de Judée) .
Il aime la littérature « populaire » (romans feuilletons, policiers, d’espionnage, de science-fiction, etc.), les essais et romans réactionnaires de 1850 à 1945, le cinéma américain d'avant 1975, les péplums, le film noir, et s’intéresse à la « chose juive » sous toutes ses formes (Loi, liturgie, commentaires, histoire, sociologie, fiction, bande dessinée, film), à la psychanalyse, au politique et au géo-politique.
Il a un faible pour Miles Davis (d’avant la période « électrique »), Bill Evans, John Coltrane, Charles Mingus, Thelonious Monk, les opéras de Mozart, le Beethoven des derniers quatuors, la musique de chambre de Brahms, Schoenberg, Berg, les Quatre Barbus, Mireille, Dario Moreno, les vieilles voitures anglaises, les Pall Mall sans filtre (devenues introuvables en France depuis janvier 2011) et les malts clairs.
Il a traduit Israël Zangwill ('Had Gadya) et co-traduit Art Spiegelman (Breakdowns) avec P. Lévy-Soussan.
Enfin, il est l’heureux grand-père de deux garçons qui l’appellent « papy » : Léo, 14 ans (Paracha Bô), et Noam, 11 ans.
Photo : portrait de Richard Zrehen, copyright Alain Zimeray.
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